Le réseau ancien de routes commerciales pour la soie entre l’Asie et l’Europe prend le nom de la route de la soie. Ce fameux circuit a été ouvert par le général chinois Zhag Qian au IIe siècle av. J.-C.. À cette époque, la soie était le produit principal des Chinois, mais les chargements qui vont vers l’ouest portaient également de l’or, d’autres pierres et étaux précieux, du textile, de l’ivoire et du corail.
L’itinéraire conseillé
Cette route de la soie fait 16 000 km et autrefois, les Chinois mettaient plusieurs semaines pour la faire. Vous pouvez revivre les moments de cette époque en faisant un trajet de courte durée sur cette route de la soie, mais vous pouvez partir avec un 4×4 ou un minibus. Ceci vous permettra également de sillonner les pays les plus somptueux de l’Asie qui sont dans un décor unique. Nous recommandons de faire le trajet de l’ouest en partant du Turkménistan ou du Kirghizistan et il ne faut pas oublier de mettre à jour son passeport et de prendre des visas appropriés par pays pour faire sereinement la route de la soie.
Route de la soie : la période idéale pour entamer le pèlerinage
Les moines bouddhistes choisissent particulièrement la route de la soie pour leur pèlerinage. Ce long périple leur permet de se relier à travers le temps à la communauté des croyants, un des composants du pèlerinage. La route de la soie est aussi choisie par quelques musulmans pour leur pèlerinage et la plupart des musulmans qui y font la pratique sont des Chinois. La route de la soie offre les éléments du paysage que demande le pèlerinage. Sur cette route, on a entre autres la montagne et le désert, des éléments qui représentent les épreuves symboliques.